lundi 6 septembre 2010

LITTERATURE QUEBECOISE ET LES FRUITS AMERS DE LA CENSURE


De : Fides



La littérature québécoise et les fruits amers de la censure Pierre Hébert «Et l'on se demande pourquoi la littérature canadienne reste étroite, mesquine et médiocre!» Le critique Louis Dantin lance cette accusation dans une lettre au poète Alfred DesRochers, en 1929. Les raisons d'une telle charge, coulant d'une plume pourtant mesurée?


La censure, qui isole les Canadiens français de l'éducation intellectuelle nécessaire à l'accomplissement d'une vocation d'écrivain. Quelle a été l'influence réelle de la censure sur les lettres québécoises? Les relectures contemporaines de l'histoire intellectuelle du Québec entraînent-elles à nuancer un tel jugement, ou celui-ci conserven-t-il encore toute sa pertinence?




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