De :Comment ca marche
Photo :Sony.com
Le fabricant japonais Sony a annoncé, mardi 16 septembre, le lancement de son livre électronique en France pour la mi-octobre. Il est disponible au Canada , depuis avril .
Le Sony Reader, qui est commercialisé aux Etats-Unis depuis 2006, sera proposé dans l'Hexagone au prix de 300 euros.Un accord, passé avec la Fnac et Hachette Livre, permettra aux utilisateurs du Reader de bénéficier d'une réduction allant jusqu'à - 30% pour le téléchargement d'ouvrages numérisés de l'éditeur français sur le site Fnac.com. L'offre de démarrage proposera quelque 2.000 titres du catalogue Hachette Livre.Le Reader, qui permet de stocker jusqu'à 160 livres électroniques, est plus petit qu'un livre de poche (8 mm d'épaisseur). Son écran utilise la technologie de papier électronique E-Ink qui se rapproche de l'aspect d'une feuille de papier.Le Sony Reader est le concurrent du Kindle, lancé par le site marchand Amazon. Ce dernier n'est en revanche commercialisé qu'aux Etats-Unis pour le moment.
Test du Sony Reader PRS-50524 octobre 2007 par Julien .
Voici donc le test du Sony PRS-505, le remplaçant du PRS-500 sorti il y a un an. Equipé d’une dalle Vizplex de chez e-ink, vous trouverez ses spécifications dans un attachement,
Première impression, ils est très bien fini. Fin, dans sa coque de type aluminium brossé, il donne une sensation de solidité. L’emplacement des boutons a été revu. Pour passer les pages, ils se trouvent désormais à droite, plus logique pour nous qui lisons de gauche à droite. A noter que le disque en bas à gauche permet toujours de tourner les pages.Les touches numériques quant à elles sont placées à droite également ce qui est plus pratique puisqu’elles viennent se placer dans le prolongement du choix du menu. Par ailleurs, lors de la consultation d’un livre, alors que ces touches permettaient d’avancer dans un certain pourcentage du livre sur le PRS-500, celles-ci permettent de saisir directement un numéro de page, ce qui peut être pratique.Le pad directionnel est ici plus facile à utiliser bien que l’on sente à peine la pression sur les touches qui fait qu’on se demande si l’on a appuyé ou non.
Concernant la qualité d’affichage, le fond est légèrement plus « blanc » (reste gris), le contraste est bon et un peu amélioré. Les 8 niveaux gris s’apprécient surtout sur une photo où la différence est réelle (voir photo ci-contre).
Côté pdf, la lisibilité est très légèrement supérieure, probablement grâce au contraste et aux niveaux de gris supplémentaire. A noter toutefois que contrairement au PRS-500, le fond est légèrement tramé, ce qui fait qu’il est moins « blanc ». On peux le voir sur cette photo, où il y a comme une marge de 2mm environ, plus blanche. Cela dit, à comparer avec un PRS-500, cela n’est pas très visible, hormis peut-être cette marge…
La gestion des marque-pages reste identique, par contre, plus de cercle lumineux lorsqu’on en crée ou supprime un.
L’UMS qui permet à l’appareil d’être reconnu comme un disque dur a le net avantage de pouvoir se passer de tout logiciel pour transférer le contenu vers l’appareil, et ce, quelque soit votre système d’exploitation.
Notons également que l’adapteur secteur n’est plus fourni en standard et devient une option. La recharge s’effectue donc en USB (temps de charge doublé environ par rapport à un adpatateur externe).
Voici donc le test du Sony PRS-505, le remplaçant du PRS-500 sorti il y a un an. Equipé d’une dalle Vizplex de chez e-ink, vous trouverez ses spécifications dans un attachement,
Première impression, ils est très bien fini. Fin, dans sa coque de type aluminium brossé, il donne une sensation de solidité. L’emplacement des boutons a été revu. Pour passer les pages, ils se trouvent désormais à droite, plus logique pour nous qui lisons de gauche à droite. A noter que le disque en bas à gauche permet toujours de tourner les pages.Les touches numériques quant à elles sont placées à droite également ce qui est plus pratique puisqu’elles viennent se placer dans le prolongement du choix du menu. Par ailleurs, lors de la consultation d’un livre, alors que ces touches permettaient d’avancer dans un certain pourcentage du livre sur le PRS-500, celles-ci permettent de saisir directement un numéro de page, ce qui peut être pratique.Le pad directionnel est ici plus facile à utiliser bien que l’on sente à peine la pression sur les touches qui fait qu’on se demande si l’on a appuyé ou non.
Concernant la qualité d’affichage, le fond est légèrement plus « blanc » (reste gris), le contraste est bon et un peu amélioré. Les 8 niveaux gris s’apprécient surtout sur une photo où la différence est réelle (voir photo ci-contre).
Côté pdf, la lisibilité est très légèrement supérieure, probablement grâce au contraste et aux niveaux de gris supplémentaire. A noter toutefois que contrairement au PRS-500, le fond est légèrement tramé, ce qui fait qu’il est moins « blanc ». On peux le voir sur cette photo, où il y a comme une marge de 2mm environ, plus blanche. Cela dit, à comparer avec un PRS-500, cela n’est pas très visible, hormis peut-être cette marge…
La gestion des marque-pages reste identique, par contre, plus de cercle lumineux lorsqu’on en crée ou supprime un.
L’UMS qui permet à l’appareil d’être reconnu comme un disque dur a le net avantage de pouvoir se passer de tout logiciel pour transférer le contenu vers l’appareil, et ce, quelque soit votre système d’exploitation.
Notons également que l’adapteur secteur n’est plus fourni en standard et devient une option. La recharge s’effectue donc en USB (temps de charge doublé environ par rapport à un adpatateur externe).
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